» Un être qui souffre ne souffre pas par hasard. Il apprend à travers l’épreuve qu’il traverse et il grandit car, bien souvent les épreuves sont des cadeaux que nous nous faisons à nous-mêmes, pour aller plus loin en nous et au-delà de nous. La souffrance n’est pas une fatalité.
Un accident ou une maladie sont des signaux pour nous faire entendre qu’une partie de nous n’est pas en accord avec une autre.
Ce sont des rendez vous imposés par notre vie supra-consciente qui deviendront des tremplins lorsque nous les aurons compris et résolus.
Il arrive bien sûr qu’une trop grande souffrance nous fasse nous recroqueviller comme un cloporte sur nous-mêmes et ralentisse notre marche.
Notre guérison nous appartient.
Le thérapeute n’est qu’un outil par lequel l’énergie passe, il permet de prendre de l’altitude par rapport au nœud du problème. Il apporte également les briques ainsi que le ciment qui vont nous permettre de nous reconstruire, mais jamais il ne pourra construire à notre place, parcourir notre chemin, car cela, nous sommes seuls à pouvoir le faire »
Extrait du livre « lecture de l’aura et soin essénien » d’Anne Givaudan
Pourquoi les soins esséniens ?
– La maladie peut prendre sa source dans l’enfance, dans le moment présent ou dans une autre vie.
– Elle peut aussi avoir été générée par une façon erronée de comprendre un événement, par un sentiment dévastateur, par une vieille culpabilité, peu importe, elle ne se trompe jamais de route et ira droit à l’organe ou à l’endroit qui lui correspond. Elle mettra simplement quelques secondes à agir dans le cas d’un accident, quelques jours si il s’agit d’un rhume ou quelques années pour un cancer.
L’entité maladie ne comptabilise pas son temps, cette notion lui est étrangère car elle se nourrit en permanence des pensées non évacuées que nous émettons quotidiennement.
– Les formes-pensées que nous émettons sont toutes à l’origine de nos maux actuels.
Lorsque je conseille dans les soins de couper les vivres ou de cesser d’alimenter une forme-pensée, il s’agit bien de cela.
– C’est aussi pour cela qu’il est important de retrouver nos vieux contentieux, nos nœuds non réglés et souvent oubliés car si notre conscient fait mine d’oublier, le travail de destruction ne cesse que lorsque tout est nettoyé.
Le pardon envers nous-mêmes, le pardon envers l’autre est le facteur le plus puissant de cette dissolution.
Il éclaire la vie différemment, demande de la compassion pour accepter et comprendre ce que nous étions, ce que l’autre était…à ce moment-là. Pardonner en superficie, intellectuellement, mentalement, ne peut suffire à éradiquer une forme pensée car celle-ci n’est pas dupe et vous ne pouvez la tromper.
Si il reste au fond de votre cœur la moindre particule de grief, le nettoyage n’est pas fait et le résultat sera toujours en-dessous de ce à quoi vous vous attendiez.
– Les soins esséniens travaillent à la fois sur le corps physique et les corps subtils sur qui leur permet d’avoir un large registre et d’être aussi efficaces que ce soit pour un problème de santé précis ou pour un mal être profond.
– Cependant ils demandent la coopération des deux parties : le thérapeute et le patient. »
Extrait du livre » Lecture d’aura et soins esséniens » de Anne Givaudan
Le grand art du thérapeute essénien tient dans le fait « d’aider le patient à se guérir lui-même » ce qui est la Clé de toute véritable guérison.
Le premier contact :
Avant le soin qu’il soit à distance ou en cabinet, nous prenons le temps d’échanger au téléphone sur les raisons pour lesquelles vous venez vers moi.
Je vous poserai plusieurs questions afin de cibler la ou les formes-pensées qui sont à l’origine de la problématique.
Comment se déroule un soin essénien en cabinet ?
Le soin se déroule en sous-vêtements.
Le consultant est confortablement installé sur une table de massage.
Le soin sera un combiné de stimulation de points énergétiques précis sur le corps physique et dans la contrepartie éthérique.
Les outils de ce soin seront la lumière, les sons, les passe-magnétiques, les huiles essentielles si besoin, les archétypes, les lettres hébraïques.